Gerbe Inconnue.

Hier soir et comme souvent, commémoration à l'Arc de Triomphe.
J'ai eu beau chercher, je n'ai pas trouvé dans l'actu du 30 septembre un événement qui appelait à un dépôt de gerbe sur la tombe du soldat inconnu.

Noël de crise #2.

Cette année pour Noël, au lieu d'offrir un cadeau inutile et qui va finir au fond d'un placard à 1€50 seulement, offrez un beau cadeau, qui va quand même finir au fond d'un placard, mais pour 1€00 cette fois...

Névroses d’Ispahan.

Comme on a encore beaucoup parlé d'Ahmadinejad cette nuit, cette photo débordante de bons sentiments:

Il était propos d'une (possible) coopération entre l'Iran, la Russie et la France dans le nucléaire civil.

Noël de crise.

Cette année pour Noël, au lieu d'offrir un cadeau inutile, qui va finir au fond d'un placard ou à nourrir le hamster, offrez plutôt un cadeau inutile, qui va finir au fond d'un placard ou à nourrir le hamster pour 1€50 seulement!

Faux flics, vrais lascards.

Samedi soir, des agents de la sécurité du métro évacuent une bande de clochards de la station Saint-Michel. Tout en picolant une 8,6, l'un d'eux me dénonçait le caractère vain de la vie au regard de l'inéluctabilité de la mort, en gueulant à travers la voie.
Z'ont pas aimé.

Ratatouille.

Le site de la ville, qui nous apprends qu'il y a 800 000 pigeons ramier à Paris nous dit:
"L’élevage du pigeon était initialement alimentaire. Mais ses compétences de grand voyageur revenant fidèlement à son pigeonnier ont bien vite été observées et le “ pigeon voyageur ” est né. C'est, entre autre, la magnétite présente dans certains tissus de son cerveau qui, équivalente aux composants de nos boussoles, l'aide à retrouver aisément son pigeonnier même quand il est relâché à plusieurs centaines de kilomètres."

Voila comment les villes ont été colonisées. Cet oiseau initialement sauvage, puis domestiqué, puis de nouveau sauvage parait bien plus sympathique.

L'ile de la tante.

L'armée qui va recruter 14 000 personnes cette année, ne recule devant aucun procédé. Avec une communication très proche de celle de la tété réalité, la Marine vous propose de gagner une croisière de 3 jours entre garçons...

Beau beau.

Le quartier de la Goutte d'Or se rénove. Les squats se vident et les espaces laissés libres se voient occupés par des immeubles neufs. Les ménages les plus pauvres se voient éjectés vers les banlieues. L'histoire n'est pas nouvelle...


Boboïsation? Non. Car il n'y a pas de vraie définition de "bobo", mise à part "jeune urbain actif que je n'aime pas". Du vrai vocabulaire d'extrême droite.

L'affaire Téalais.

J'ai eu une grosse journée hier. Je n'ai pas eu le temps de voir la lumière du jour et donc de faire une photo. Je n'allais rien poster pour aujourd'hui, sauf que j'ai reçu par mail mon tout premier fan-art!

Bon. On va dire que c'est un fan-art pour moi et que ces deux auteurs, références de la ligne claire et de la BD franco-belge n'ont rien à voir la-dedans...
Merci à toi, Warcq2000 (dont j'ignore l'identité secrète) pour ce foutage de gueule de deux grand hebdos français.

L'affaire le Titre.

D'où l'importance d'avoir un bon titre pour accrocher le lecteur avant même l'ouverture du magazine.
Mais il arrive quand même que ça tourne en rond...


Pour continuer sur le sujet de samedi (voir les posts de Julie et de moi-même) j'ai croisé dimanche matin ces personnes, russophones que cette affiche faisait bien marrer. Ça fait peur...

Photographier, c'est rêver.

Gnagnagna.

Il s'agit d'une personne qui vend des voyages photographiques au Kenya, au Salon de la Photo. Très bien, mais quand on en revient au droit à l'image:
Photographier, c'est demander (pardon mademoiselle)
Photographier, c'est négocier (allez, mademoiselle)
Photographier, c'est plein de papiers (décharges)
Photographier, c'est aller au procès
D'où les flous et autres trucs et astuces pour anonymer les gens sur les images...

Encore du métro.

On ne peut pas échapper à la publicité dans le métro. C'est normal. Même dans une économie subventionnée comme la Biélorussie la publicité existe (voir mon avatar). Simplement, elle est tellement présente dans le métro parisien qu'elle surprend même le londonien.


"Ici, la RATP vous fait un métro plus beau."
Comprenez, on refait les espaces publicitaires. Toute une histoire de communication...

Et comme on parle encore de publicité dans le métro, j'ai trouvé hier le slogan ultime:

Promis. J'arrête de poster des photos du métro quelques jours...

C'est déjà Noël 2.

Et quel type de commerce fait 30% de son chiffre d'affaire annuel lors des fêtes de Noël?
L'électronique grand public, bravo.

Et vivement le come-back de la création en publicité.

Geografood.

C'est la semaine du goût jusqu'au 18 octobre.


Il y avait hier un workshop de Gerard Cagna à destination des étudiants de l'Institut de Géographie. Par Geofood, qui est une association qui organise ce type d'événement tous les mois.

Quand c'est gratuit...

Une d'un journal gratuit parisien, avec la pub d'une série historique. Ce qui me rappelle un titre de Oncle Bernard dans Charlie: Quand c'est gratuit, qui paie? et qui pose la question de l'indépendance de ce type de presse.

C'est déjà Noël.

Devant un Monoprix.

Nous sommes mi-octobre et les commerces commencent déjà à stocker des produits pour les fêtes...
Durant cette période, l'activité de la plupart des commerces augmente significativement, pouvant atteindre 30% du chiffre d'affaire annuel. Alors on s'y met de plus en plus tôt...

Plante verte.

Hier, chez des amis.
Le drame de la plante d'intérieur chez les jeunes actifs Parisiens.

... Et rats volants.

Ou la solitude des vieux.
Et pas seulement en été, quand il y a des pubs dans le métro.

L'Amour, ce rat mort.

Il ne sera pas dis que je ne suivrais pas le mouvement en n'osant pas titrer sur l'Eté Indien.

Les températures maximum, hier/aujourd'hui:
Paris: 25°c/19°c, Lille: 20°c/16°c, Brest 20°c/17°c, Bordeaux 27°c/22°c, Marseille: 25°c/24°c, Strasbourg: 28°c/24°c.
Comme ça vous n'aurez pas à acheter la presse gratuite.

Nights of Saint-Germain.

Je suis allé prendre un cocktail avec des jeunes mariés américains à Saint-Germain-des-prés. Eux n'ont pas rêvé Paris en cartes postales monochromes, ils sont de Los Angeles, on ne la leur fait pas. Je n'avais jamais prêté attention aux carteries, pubs et autres crêperies qui y relèguent les galeries dans les ruelles parallèles avant d'en parler.


Saint-Germain-des-Prés est devenu LE spot ou trouver des Marilyn sur une bouche d'aération.

Gueule de bois.

Hier, dans la cour de l'école de médecine avait lieu une fête avec bières, t-shirts et fanfare-salsa-du-démon. C'était le début de la première semaine d'intégration. On appelle ça "petage de fût" je crois et marque la rentrée.

Bougez vous pour La Poste.

Hier, avait lieu la votation citoyenne contre la privatisation de la Poste.


Les syndicats doivent annoncer les résultats cet après-midi. On sait déjà que près de 2 millions de personnes se sont déplacées pour ce vote symbolique, avec un score Chiraquien en faveur du "non" (France Inter). Prochaine étape, l'obtention d'une vraie consultation nationale...

(Douce) Nuit Blanche.

Dans un bar de Saint-Michel, le soir de la Nuit Blanche:
Un jeune homme particulièrement cuit s'est fait dessiner sur le haut du crâne ces subtils symboles au fluo par ses potes.
Un classique du bac: l'art est-il gratuit?

Le péril jeux.

Je me suis fait payer un verre il y a quelques années de ça. Il s'agissait à l'époque de fêter le départ du dernier Auvergnat de Belleville (bistrot s'entend). C'était chez les Kabyles. Depuis, les bistrots-tabac-rapido sont de plus en plus repris par des Chinois, nationalité générique qui veut aussi bien dire Vietnamien.

La statuette en bas à gauche est bien un porte-bonheur.

Nicolas Flanelle.

L'authentique pyjama de l'authentique Petit Nicolas (de Goscinny et Sempé) est en vente dans les magasins "Petit Bateau" à l'occasion de la sortie du film du même nom (le Petit Nicolas, pas Petit Bateau).
Ou comment une bonne idée commencée entre potes, un jour sur un coin de comptoir entre ballons de muscadet et œufs durs (en tout cas j'aime à l'imaginer ainsi) se transforme en panzer commercial avec adaptation ciné et produits dérivés.
Ça doit être dans la logique des choses. Après tout ceux qui sont en âge de dire "je lisais ça étant gosse" sont en âge d'avoir une famille à emmener au cinéma.

Métro, c'est trop.

Une station de métro en rénovation.


Ce qui nous permets parfois de découvrir une ou deux raretés, comme ici, il y a 2 ans à la station Villiers:

Si j'ai choisi ce sujet, c'est qu'on a parlé il y a peu du "syndrome du touriste Japonais". Ce touriste qui après avoir rêvé Paris en cartes postales monochromes, découvre les odeurs de pisse et de bête humaine du métro, que la Ville Lumière... ben, finalement c'est plutôt Tokyo et tombe en dépression.

Tron du culte.

Plus léger, aujourd'hui.


Et comme Tron 2 va bientôt sortir...